Léa Vanier

Calendrier
perpétuel

Sexe: femme
Père: Odilon Vanier
Mère: Azilda Perreault

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Évènement(s):
    Naissance : 5 avril 1882 St-Jean-Baptiste, Montréal, Québec
    Baptême : 6 avril 1882 St-Jean-Baptiste, Montréal, Québec
    Décès : 24 août 1883 St-Jean-Baptiste, Montréal, Québec
    Sépulture : 27 août 1883 Basilique Notre-Dame, Montréal, Québec

Arbre généalogique ascendant (ancêtres Vanier et Geoffrion seulement) à imprimer ou consulter au choix



Note(s):
Baptême (1882)
6 avril 1882
Marie Léa, née hier, fille de Odilon Vanier, marchand et de Azilda Perreault de cette paroisse
Le Parrain: Jacques Villeneuve et la Marraine: Marie Bousquet, lesquels ainsi que le père ont signé avec nous.
Paroisse: St-Jean-Baptiste, Montréal, Québec
Références:
1) Voir ci-dessous - Sépulture (1883)
2) Ancestry.com. Actes d’état civil et registres d’église du Québec (Collection Drouin), 1621 à 1967 [base de données en ligne]. Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2008.

Sépulture (1883)
27 août 1883
Marie Léa, inhumée dans le cimetière de cette paroisse, décédé le 24 du mois courant âgé de un an quatre mois, de la paroisse de St-Jean-Baptiste, fille de Odilon Vanier, marchand et de ? (prénom illisible) Perrault.
Témoins: Auguste A. A. Dubord Nom incertain?) greffier et Ferdinand Savage, commis, lesquels ont signé.
Paroisse: Basilique Notre-Dame, Montréal, Québec
Référence:
Ancestry.com. Actes d’état civil et registres d’église du Québec (Collection Drouin), 1621 à 1967 [base de données en ligne]. Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2008.

Note:
Note: Dans le registre de 1883, un nombre incroyable d'enfants sont inhumés. Il y a sûrement eu une épidémie à cette époque.
Aussi:
1) En 1885, une épidémie de petite vérole tue 3 164 montréalais ( sur environ 150 000 habitants).
http://www.imtl.org/histoire.php?periode=1880
2) En 1885 - Un fléau frappe à Montréal
« Jamais peste ne fut si fatale, si horrible », écrit Edgar Allan Poe au sujet de la variole, aussi appelée petite vérole. « Son avatar, c'était le sang, la rougeur et la hideur du sang. C'était des douleurs aiguës, un vertige soudain, et puis un suintement abondant par les pores, et la dissolution de l'être. Des taches pourpres sur le corps, et spécialement sur le visage de la victime, la mettaient au ban de l'humanité, et lui fermaient tout secours et toute sympathie. » En mars 1885, ce fléau envahit Montréal.
Pour la suite: http://www.thecanadianencyclopedia.com/featured/fr/un-fleau-frappe-montreal